Header

Guides et Dépannage

CTA icons

Contacter les Ventes

Datapath possède un vaste réseau de distributeurs et de revendeurs dans le monde entier.

Contactez-nous

+44 (0)1332 294 441
[email protected]

FAQ sur les Guides et le Dépannage

  • Comment installer le logiciel de surveillance SNMP pour les systèmes Datapath

    Comment afficher les informations système W2K

    Ce document donne des conseils sur la configuration des interruptions SNMP pour les systèmes Datapath (VSN, VSN Micro et iolite) afin de surveiller les logiciels Datapath (Wall Monitor, Wall Control, Wall Monitor Server).

    Installation du fournisseur d’interruption SNMP

    Le fournisseur d’interruption SNMP est le service qui génère les interruptions. Il n’est pas installé par défaut lors d’une installation Windows. Pour installer le fournisseur, il convient de suivre les étapes suivantes :

    1. Dans le Panneau de configuration, sélectionnez Programmes.

    2. Dans Programmes et fonctionnalités, sélectionnez Activer ou désactiver les fonctionnalités Windows.

    3. Dans la liste des fonctionnalités Windows, faites défiler jusqu’à Protocole SNMP (Simple Network Management Protocol) et développez la liste pour afficher Fournisseur SNMP WMI.

    SNMP trap provider

    4. Activez la case à cocher Fournisseur SNMP WMI. La case à cocher de la fonctionnalité SNMP est automatiquement sélectionnée car le fournisseur a besoin de SNMP.

    5. Cliquez sur OK.

    Enregistrer un poste de travail distant

    Une fois que vous avez installé le fournisseur d’interruption, vous devez enregistrer la machine à laquelle il va envoyer les interruptions. Pour enregistrer une machine distante, vous devez utiliser le panneau de configuration Services disponible dans la section Outils d’administration du Panneau de configuration.

    1. Ouvrez le panneau de configuration Services dans le Panneau de configuration (ou tapez services.msc dans le menu Démarrer).

    2. Sélectionnez Service SNMP dans la liste des services puis double-cliquez dessus.

    3. Dans la boîte de dialogue qui s’affiche allez dans l’onglet Interruptions.

    4. Allez dans la zone d’édition Nom de la communauté et insérez un nom pour décrire la connexion. Par exemple : publique.

    SNMP remote workstation

    5. Cliquez sur le bouton Ajouter à la liste.

    6. Le bouton Ajouter est désormais activé. Cliquez sur ce bouton. Une boîte de dialogue de configuration SNMP apparaît.

    7. Saisissez le nom d’hôte ou l’adresse IP de la destination d’interruption. Cliquez sur Ajouter.

    Configuration des interruptions d’événement

    La dernière étape consiste à configurer les événements enregistrés par nos applications qui sont convertis en interruptions. Nous pouvons pour cela utiliser le programme evntwin.exe qui est un composant Windows.

    1. Dans une invite de commandes ou depuis le menu Démarrer, tapez et exécutez evntwin.exe.

    2. La liste des interruptions actuellement configurées s’affiche. Sélectionnez Configuration personnalisée. Le bouton Modifier >> est activé. Sélectionnez-le.

    3. Le menu déroulant Application contient une liste des applications enregistrées dans l’Observateur d’événements pour fournir des événements. Cette liste doit comprendre les logiciels Datapath (par exemple : WallControl, Wall Monitor).

    4. Sélectionnez une application. La Liste d’événements sera remplie avec les événements susceptibles d’être générés par cette application.

    5. Dans la Liste d’événements, sélectionnez un événement que vous souhaiteriez convertir en interruption. Cliquez sur Ajouter pour afficher une boîte de dialogue décrivant l’interruption. Si sa configuration vous convient, cliquez sur OK pour l’ajouter à la liste de conversion.

    6. Pour terminer, cliquez sur Appliquer les modifications dans la boîte de dialogue de conversion.

    SNMP even traps

    L’ajout de l’événement dans la boîte de dialogue ci-dessus déclenchera une interruption en cas de génération d’une Alerte rouge et d’arrêt du système par Wall Monitor. Cela pourrait se produire en cas de défaillance des ventilateurs et d’augmentation de la température à un niveau critique.

    Interruption MIB

    Les INTERRUPTIONS SNMP seront toutes générées à partir du numéro d’entreprise privé MIB de Microsoft. Ce MIB utilise le préfixe 1.3.6.1.4.1.311 (RFC1155-SMI).

    Les interruptions seront générées dans les hôtes spéciaux configurés à l’aide des services SNMP. Vous aurez besoin d’une application capable de recevoir les interruptions (MIB Browser/Trap Receiver).

    Windows utilise le nom de l’application comme OID. Tous les OID de Microsoft commencent par 1.3.6.1.4.1.311. Ensuite, 13.1 indique les interruptions de définition evntwin (c’est-à-dire 1.3.6.1.4.1.311.13.1).

    La définition de l’application vient ensuite. Le chiffre suivant indique le nombre de caractères contenus dans le nom de l’application. 1.3.6.1.4.1.311.13.1.XX., suivi par le nom de l’application en caractères ASCII. Ainsi, si nous parlons de l’application (source) WMONSVC, le nombre de caractères est 7. Nous aurons donc :

    1.3.6.1.4.1.311.13.1.7.87.77.79.78.83.86.67

    W M O N S V C

    Test des interruptions SNMP

    Il existe différents utilitaires SNMP sur le marché. Tous les utilitaires dotés d’un récepteur d’interruptions intégré peuvent être utilisés. Dans le cadre du développement et du test, nous vous conseillons d’utiliser le programme Trap Receiver de la suite MIB Browser de iREASONING.

    Une fois que les interruptions ont été configurées sur le contrôleur de mur, le récepteur d’interruptions peut être exécuté sur la machine distante afin d’enregistrer les interruptions reçues. Pour les tests, il est conseillé d’activer quelques interruptions « informatives » comme une interruption pour « L’application a démarré » et « L’application s’est arrêtée » car elles sont faciles à déclencher (en fermant et en ouvrant le programme concerné) afin de vérifier le récepteur d’interruptions.

    Testing SNMP traps

    Après avoir été correctement testées, les interruptions peuvent être déployées dans un système de surveillance existant à l’échelle de l’entreprise, comme Solarwinds, Nagios ou d’autres outils de surveillance SNMP. Afin d’élargir la portée de la surveillance, vous pouvez créer des interruptions SNMP pour les autres logiciels et outils installés sur la machine ou à partir des journaux d’erreurs générés par le système d’exploitation.

  • Comment configurer un EDID personnalisé pour le Fx4

    06/11/2017

    La configuration EDID (Extended Display Identification Data ou données d’identification d’affichage étendu) définit le timing vidéo exact qu’une source vidéo doit fournir en sortie une fois connectée. Elle indique également différentes autres fonctionnalités spécifiques à la mise en œuvre, comme la compatibilité 4K60 4:2:0 en HDMI 1.4.

    Ce didacticiel décrit comment définir un EDID personnalisé sur n’importe quelle entrée du Fx4. Les données EDID peuvent modifier la manière dont une source vidéo réagit lors de la connexion à un système Fx4.

    Pour accéder à la fonction de configuration EDID, votre Fx4 devra être exécuté avec la version 2.3.2 ou supérieure du firmware (version 1.3.2 du firmware Fx4-SDI).

    Remarque : vous devrez peut-être procéder à une mise à niveau de votre périphérique Fx4 avant d’utiliser ce didacticiel. Pour cela, assurez-vous que votre périphérique est connecté au réseau et suivez les instructions de l’invite de mise à niveau du firmware.

    Wall Designer

    Programmation des données EDID

    1. Configurez votre Fx4 en utilisant le logiciel Wall Designer normalement.

    2. Utilisez l’option « Configuration automatique du Fx4 » sur la page Périphériques puis double-cliquez sur un port d’entrée.
    « EDID > Personnaliser » apparaît

    3. Cliquez sur Personnaliser.

    Remarque : Within the EDID menu, dans le menu EDID, l’option Importer et exporter les fichiers binaires EDID est également prise en charge. Cela peut par exemple être utile pour importer un EDID connu depuis un écran ou pour configurer plusieurs périphériques avec un EDID personnalisé identique.

    4. La fenêtre « Capacité de la source » apparaît. Sélectionnez le bloc d’extension CEA adapté à votre type de signal d’entrée.

    Pour HDMI 4k60 ips, sélectionnez « extension HDMI (CEA-861) ».

    Source Capability

    5. Cliquez sur Suivant.

    6. La fenêtre « Mode » s’affiche ensuite. Vous pouvez sélectionner un EDID prédéfini ou créer votre propre EDID.

    Mode

    7. Cliquez sur Terminer..

    8. Un avertissement s’affiche si le canevas d’entrée défini ne correspond pas aux nouveaux paramètres de l’EDID. Cliquez sur Oui pour accepter ou Non pour revenir à la dernière version.

    9. L’EDID d’entrée a été programmé avec l’EDID prédéfini que vous avez sélectionné. Désormais, les sources vidéo fourniront automatiquement ce mode en sortie lorsque cela sera possible.

    Remarque : en programmant un EDID selon cette méthode, vous écraserez les paramètres contenus dans l’onglet ENTRÉE du logiciel Wall Designer. En d’autres termes, un EDID personnalisé sera toujours prioritaire. Une fois que vous aurez créé l’EDID personnalisé, les réglages de résolution et de fréquence d’image indiqués dans l’onglet ENTRÉE seront mis à jour afin de refléter le mode préféré que vous avez défini.

    Remarque : il n’est pas nécessaire de configurer l’EDID pour obtenir une résolution 4K60 en HDMI. Pour cela, il suffit d’utiliser l’onglet ENTRÉE dans Wall Designer. Sélectionnez une résolution de 3840 x 2160 avec une fréquence de rafraîchissement de 60 sur l’entrée HDMI. Cela programmera automatiquement un EDID compatible avec un sous-échantillonnage 4:2:0 comme défini dans les spécifications HDMI1.4.

    Comment créer un EDID personnalisé

    1. Suivez les étapes 1 à 5 ci-dessus.

    Remarque : si un EDID a déjà été défini pour cette sortie, vous devrez sélectionner « Effacer personnalisé » avant de continuer.

    2. La fenêtre « Mode » s’affiche.

    3. Sélectionnez Personnalisé.

    4. Cliquez sur Suivant.

    Mode

    5. La fenêtre « Prise en charge personnalisé » s’affiche.

    Vous pouvez alors sélectionner « Sous-échantillonnage des couleurs » et « Profondeur de couleur » (l’option 10 bits n’est disponible que pour le contrôleur FX4-SDI).

    Remarque : ces options ne peuvent pas être sélectionnées sur les sorties DisplayPort. Les options de sous-échantillonnage des couleurs sont disponibles uniquement sur les sorties HDMI.

    La prise en charge 10 bits est disponible uniquement sur la sortie DisplayPort de la variante FX4-SDI.

    Custom Support

    6. Cliquez sur Suivant.

    7. La fenêtre « Synchronisations préférées » s’ouvre, dans laquelle vous pouvez définir votre EDID personnalisé.

    8. Cliquez sur Terminer.

    9. L’entrée sélectionnée du Fx4 est désormais programmée avec vos synchronisations préférées. Les changements seront automatiquement appliqués à la source vidéo.

    Preferred Timing

    Remarque : pour certaines sources vidéo, il se peut que vous ayez à débrancher puis rebrancher le câble vidéo après avoir mis à jour la mémoire EDID afin de pouvoir à nouveau lire l’EDID.

    Remarque : pour la prise en charge 4K60 ips, l’option doit également être activée dans le menu d’affichage de certaines sources vidéo (comme la PlayStation 4) afin de fournir le mode en sortie.

    Prise en charge de l’EDID personnalisé par le FX4 de Datapath

    La fonctionnalité EDID personnalisé augmente la flexibilité du FX4 de Datapath. Elle offre encore plus de contrôle à l’utilisateur et facilite l’intégration avec un plus grand nombre de sources vidéo.

    Pour en savoir plus sur la définition de l’EDID et les extensions CEA, veuillez vous référer aux caractéristiques techniques HDMI1.4 https://www.hdmi.org/

  • Dépannage de l’ActiveSQX

    1 Sommaire

    2 Introduction

    3 Problèmes courants

    3.1 Problèmes de connexion réseau

    3.1.1 Échec de la connexion

    3.1.2 Erreur DSN

    3.1.3 Chemin non valide

    3.1.4 Non autorisé

    3.1.5 Flux arrêté

    3.1.6 Connexion interrompue

    3.1.7 Fin de flux

    3.1.8 Connexion non valide

    3.2 Problèmes de décodage

    3.2.1 Flux non pris en charge

    3.2.2 Flux non valide

    3.3 Vidéo saccadée et corrompue

    4 Dépannage avancé

    4.1 Activation de la journalisation

    4.2 Récupération des journaux

    4.3 Détection d’une perte de paquets et instabilité

    4.4 Problèmes de multidiffusion IGMP

    5 Annexes

    5.1 Types de journalisation

    5.1.1 Journalisation de SQX

    5.1.2 Journalisation de GStreamer

    5.1.3 Journalisation des pipelines

    5.1.4 Journalisation des paquets

    2 Introduction

    Ce document décrit les fonctionnalités orientées support qui ont été implémentées dans la carte ActiveSQX et le processus que suit Datapath, en utilisant ces fonctionnalités, pour examiner et résoudre rapidement tout problème pouvant survenir lors du déploiement de l’ActiveSQX.

    Ce document décrit la démarche à suivre lorsqu’une source de flux IP ne fonctionne pas avec la carte ActiveSQX. Un flux IP peut passer par différents ensembles de composants matériels et logiciels qui présentent tout autant de raisons pour que le flux ne fonctionne pas. Ce document couvre les problèmes potentiels du plus courant au moins courant. Les problèmes courants peuvent être diagnostiqués par l’utilisateur final ou l’assistance de première ligne sans trop de difficultés. Toutefois, certains des problèmes les moins fréquents devront être transmis à Datapath pour un examen approfondi. Ce document décrit également les processus concernés.

    3 Problèmes courants

    La première fois qu’une fenêtre s’ouvre pour afficher un flux IP, « Connexion en cours » apparaît dans la fenêtre. Cela indique que la carte ActiveSQX essaye d’établir une connexion avec la source de flux IP. Cela peut prendre entre une fraction de seconde et trente secondes en fonction de la qualité du réseau et de la source.

    En cas de problème réseau, il se peut qu’une erreur s’affiche immédiatement dans la fenêtre ou que le logiciel dépasse le délai d’expiration d’environ 30 secondes avant d’afficher un message d’erreur dans la fenêtre.

    Les différents types de problème réseau sont décrits dans la section 3.1. Lorsque la connexion réseau a été établie correctement, vous pouvez rencontrer différents problèmes de décodage, notamment si vous essayez de décoder un flux utilisant un format d’encodage ou une fonctionnalité spécifique qui n’est pas pris en charge par l’ActiveSQX. Ces problèmes sont décrits dans la section 3.2.

    3.1 Problèmes de connexion réseau

    En cas de problème avec le réseau, l’une des erreurs suivantes peut apparaître :

    3.1.1 Échec de la connexion

    Cela signifie que l’ActiveSQX n’a pas réussi à établir une connexion avec l’adresse IP et le port source. Il se peut que la source ait rejeté la connexion du fait d’un nom d’utilisateur ou d’un mot de passe invalide (voir la section 3.1.4) ou que l’IP source ait atteint le nombre de connexions maximum autorisé.

    3.1.1.1 Vérifier la connexion physique

    Vérifiez qu’un câble Ethernet est connecté à l’ActiveSQX et se trouve sur un réseau qui a un accès physique à l’adresse IP source.

    3.1.1.2 Vérifier l’adresse IP

    Si vous utilisez le protocole DHCP, vérifiez que l’ActiveSQX a obtenu une adresse IP. Pour cela, ouvrez le gestionnaire de périphériques puis faites un double-clic sur la carte ActiveSQX sous « Contrôleurs son, vidéo et jeu ». Allez dans l’onglet « Configuration » et cherchez une adresse IP dans le champ d’adresse IP grisé comme indiqué dans la figure 1. Si l’onglet « Configuration » n’apparaît pas, cela signifie que l’ActiveSQX n’a pas réussi à établir de connexion avec l’ordinateur hôte. Dans ce cas, arrêtez puis redémarrez la machine. Si l’onglet n’apparaît toujours pas, cela signifie que la carte est défaillante ou qu’elle a été installée sur un ordinateur hôte non pris en charge.

    Datapath ActiveSQX Properties

    Figure 1 Configuration du gestionnaire de périphérique ActiveSQX

    Le champ d’adresse IP se met à jour à l’ouverture de la boîte de dialogue. Ainsi, si vous branchez un câble Ethernet au ActiveSQX, vous devez fermer la boîte de dialogue et la rouvrir pour quelle s’actualise. Si une adresse IP n’apparaît pas dans la boîte de dialogue, vérifiez que le serveur DHCP fonctionne correctement. Le cas échéant, utilisez un analyseur de paquets comme Wireshark sur un autre ordinateur connecté au même réseau pour vérifier que les paquets DCHP sont bien transmis. Si le serveur DHCP ne fonctionne pas correctement, essayez de lui attribuer une adresse IP statique. Toutefois, en cas d’attribution d’une adresse IP statique, assurez-vous de ne pas utiliser une adresse figurant dans la plage réservée au serveur DHCP afin d’éviter tout conflit d’adresse IP.

    3.1.1.3 Effectuer un test Ping des adresses IP

    Lorsque l’ActiveSQX possède une adresse IP, vérifiez qu’elle répond aux requêtes Ping provenant d’un autre ordinateur du réseau en tapant « ping x.x.x.x » dans une invite de commande, en remplaçant x.x.x.x par l’adresse IP de l’ActiveSQX. Vérifiez également que la source répond aux requêtes Ping envoyées à son adresse IP. En cas de succès des requêtes Ping, vérifiez que le numéro de port entré pour l’adresse de la source est correct. Vérifiez également que le flux est accessible depuis un autre ordinateur appartenant au même réseau en utilisant un lecteur multimédia comme VLC.

    3.1.2 Erreur DSN

    Ce message d’erreur apparaîtra si vous avez entré un nom de domaine à la place d’une adresse IP dans le champ de la source IP et que la résolution a échoué. Vérifiez que le nom de domaine est correct et qu’il est accessible en utilisant la commande Ping. Cela peut également provenir du fait que l’ActiveSQX n’arrive pas à se connecter au serveur de noms de domaine. L’adresse d’un ou deux serveurs DNS peut être explicitement spécifiée dans la page des propriétés de l’ActiveSQX dans le gestionnaire de périphériques si le DNS ne peut pas être établi automatiquement par DHCP.

    3.1.3 Chemin non valide

    Cette erreur survient lorsque la connexion à la source IP a été établie, mais que la source a rejeté le chemin donné. Vérifiez le chemin dans Wall Control en ouvrant la boîte de dialogue « Configuration des caméras IP » et en sélectionnant l’onglet « Modèles de caméras ». Sélectionnez la caméra concernée, cliquez sur « Modifier… » et vérifiez que le chemin est correct.

    3.1.4 Non autorisé

    Cette erreur indique que la source IP a rejeté la connexion. Cela peut être dû à un nom d’utilisateur ou mot de passe non valide. Vérifiez le nom d’utilisateur et le mot dans Wall Control en ouvrant la boîte de dialogue « Configuration des caméras IP » et en sélectionnant l’onglet « Caméras ». Sélectionnez la caméra concernée, cliquez sur « Modifier… », sélectionnez la case d’option « Nom d’utilisateur » et entrez les informations d’identification.

    3.1.5 Flux arrêté

    Cette erreur indique qu’aucune trame vidéo n’a été décodée au cours de la dernière seconde. Cela peut être dû à un problème réseau temporaire comme un câble déconnecté et peut se résoudre à condition que la connexion réseau soit rétablie avant que la connexion expire. Cela peut également se produire si la capacité de décodage maximum de l’ActiveSQX est dépassée. Veuillez consulter la fiche technique pour connaître ses limites.

    3.1.6 Connexion interrompue

    Cette erreur survient en cas de perte de la connexion pendant une période prolongée (environ 30 secondes). Cela peut être dû à différentes raisons :

    • un câble déconnecté entre la source et l’ActiveSQX ;
    • la source peut avoir cessé de diffuser si elle a été arrêtée par exemple ;
    • en cas de multidiffusion de la source, cela peut être dû à une mauvaise configuration des paramètres du réseau IGMP sur les commutateurs (voir la section 4.3 pour en savoir plus).

    3.1.7 Fin de flux

    Ce n’est pas à proprement parler une erreur, mais cela indique simplement que le flux IP source s’est arrêté. Ce message n’apparaît généralement que lorsque la source est un fichier vidéo ayant une durée fixe plutôt qu’un flux en direct incessant.

    3.1.8 Connexion non valide

    Cette erreur indique qu’une erreur réseau générique s’est produite. Le problème nécessite une analyse plus approfondie comme décrit dans la section 4.

    3.2 Problèmes de décodage

    En cas de problème de décodage du flux IP source, l’une des erreurs suivantes peut apparaître :

    3.2.1 Flux non pris en charge

    Cette erreur indique généralement que le format d’encodage du flux IP source n’est pas pris en charge. Cela peut également indiquer que le protocole de transport n’est pas pris en charge. Veuillez consulter la fiche technique de l’ActiveSQX pour connaître la liste des formats pris en charge. Dans certains cas, il est possible de résoudre le problème en configurant le flux IP source dans un format compatible. En cas de format de codage de la source inconnu, vous pouvez le vérifier en utilisant un lecteur multimédia comme VLC.

    3.2.2 Flux non valide

    Cette erreur indique qu’une erreur de flux générique s’est produite. Le problème nécessite une analyse plus approfondie comme décrit dans la section 4.

    3.3 Vidéo saccadée et corrompue

    Dans certains cas, plusieurs images en vert peuvent apparaître lors de la première connexion. Le problème se corrigera lui-même au bout d’un certain temps. Dans le cas d’une vidéo codée en H264, cela se produit lorsque la source IP n’a pas envoyé de trame I lors de l’établissement de la connexion. La source IP doit envoyer une trame I lors de la connexion, mais toutes les sources IP ne le font pas. Malheureusement, l’ActiveSQX ne peut rien y faire.

    Un autre problème courant concernant les flux IP est le fait d’avoir une vidéo saccadée et/ou des artefacts de décodage. Le décodage d’une image nécessite le bon décodage des images qui précédent. Les flux IP sont très sensibles aux perturbations et cela se manifeste souvent par une corruption de la vidéo.

    Les artefacts de décodage sont généralement dus à une perte de paquets réseau. Pour confirmer que c’est le cas, il convient de rendre le parcours entre la source et l’ActiveSQX le plus court possible. En cas d’accès physique au réseau, essayez de connecter la source et l’ActiveSQX directement sur le même commutateur et débranchez tous les autres ports inutiles afin de voir si le problème persiste. Il se peut également que le commutateur ou le câblage soient défaillants. Essayez si possible d’utiliser d’autres commutateurs ou câbles. Si le problème persiste, il se peut que la source soit défaillante. Essayez d’utiliser différentes sources IP. En l’absence d’accès physique au réseau, essayez de mesurer la perte de paquets en utilisant les techniques de journalisation décrites dans la section 4.

    L’affichage d’une vidéo saccadée peut également être dû à une perte du paquet réseau, mais elle est généralement également associée aux artefacts de décodage. Si la vidéo est saccadée en l’absence d’artefacts, cela peut être dû au fait que les paquets ne sont pas tous transmis à la même vitesse entre le flux IP source et l’ActiveSQX. L’ActiveSQX met par défaut les paquets en cache pendant 200 millisecondes avant de les décoder. Cela permet une lecture régulière même si les paquets ne sont pas reçus en continu, à condition que la différence de temps de transit entre le paquet le plus lent et le paquet le plus rapide ne dépasse pas 200 ms. Cette valeur peut être configurée dans Wall Control. Pour cela, ouvrez la boîte de dialogue « Configuration des caméras IP », sélectionnez la caméra, cliquez sur « Modifier… », puis sur « Avancé », puis modifiez la valeur de mise en cache. Essayez d’augmenter la valeur jusqu’à ce que la vidéo ne soit plus saccadée. Remarque : l’augmentation de cette valeur ajoutera un délai entre la source live et la vidéo affichée. Si le problème persiste malgré la modification de la valeur de mise en cache, il se peut que le problème provienne de la source IP. Essayez de décoder la même source avec un lecteur multimédia comme VLC pour voir si le problème se produit ou pas.

    4 Dépannage avancé

    Si le problème ne peut pas être identifié à partir de la section 3, il convient d’utiliser la fonctionnalité de journalisation intégrée de l’ActiveSQX. La journalisation est désactivée par défaut pour des raisons de performance, de durabilité et de sécurité, mais elle est d’une aide inestimable pour déboguer les problèmes complexes.

    La journalisation doit être activée et le problème reproduit en ouvrant le flux IP problématique (ou en suivant les étapes requises). Les fichiers journaux pourront alors être analysés pour déterminer la cause du problème ou envoyés à Datapath pour une analyse approfondie le cas échéant.

    4.1 Activation de la journalisation

    Pour activer la journalisation, utilisez l’outil en ligne de commande cmd183.exe depuis une invite de commande. Pour commencer, activez la journalisation SQX des avertissements et des erreurs avec la journalisation au niveau de GStreamer INFO et une image mémoire du pipeline en utilisant la ligne de commande suivante :

    cmd183.exe setlog file –s 2 –g 4 –p

    Ces journaux ne contiendront aucune information sensible et sont relativement légers. Pour en savoir plus sur les différents types de journalisation et la manière d’utiliser l’outil cmd183, consultez la section 5.1.

    4.2 Récupération des journaux

    Pour récupérer les journaux, vous devez également utiliser l’outil en ligne de commande cmd183.exe. Tout d’abord, créez un dossier sur l’ordinateur hôte dans lequel les journaux devront être stockés. Exécutez ensuite « cmd183.exe getlogs » à l’endroit où se trouve le dossier créé. Lorsque vous aurez récupéré les journaux, ils seront supprimés des cartes ActiveSQX. Le nom des fichiers journaux contient la date et l’heure ainsi qu’un identifiant, de sorte que chaque fenêtre cliente possède un fichier journal unique. Le contenu du dossier peut ensuite être compressé et envoyé à Datapath pour une analyse approfondie. En fonction des conclusions, Datapath pourra vous demander de récupérer d’autres journaux avec des options différentes pour restreindre le problème.

    4.3 Détection d’une perte de paquets et instabilité

    Si le réseau semble montrer une perte de paquets et/ou une instabilité parce que la vidéo affiche des artefacts de décodage, veuillez activer la journalisation suivante :

    cmd183.exe setlog file –g rtpsource:5

    Ouvrez le flux IP et laissez-le tourner pendant une minute environ puis récupérez les journaux à l’aide de la commande getlogs. Dans sqx-client-child_xxx.log, cherchez des lignes ressemblant à cela :

    rtp_source_get_new_rb: fraction 0, lost 1, extseq 120132, jitter 98

    « fraction » indique le nombre de paquets perdus entre 0 et 256. Pour le convertir en pourcentage, divisez ce nombre par 2,56. « lost » indique le nombre de paquets perdus depuis le dernier rapport. Malheureusement, la moindre perte de paquets peut entraîner l’affichage d’un grand nombre d’artefacts de décodage. Prenons l’exemple d’une vidéo codée en H264 transmise avec des paquets RTP à une vitesse de 8 Mbit/s à 30 images par seconde avec une taille de GOP de 30. De nombreuses sources IP coderont des images entières en une unité NAL H264 unique, et chaque image représentera en moyenne environ 34 Ko. La taille de transmission maximum d’un paquet se situe généralement autour de 1,5 Ko. Une image doit donc être divisée en environ 23 paquets RTP. En raison du mode de fonctionnement du protocole RTP, s’il manque l’un de ces 23 paquets, tous les autres doivent être rejetés. Ainsi, dans cet exemple, la perte d’un seul paquet peut en réalité entraîner le rejet de 23 paquets. Dès qu’il manque une image, toutes les images suivantes montreront des artefacts de décodage jusqu’à l’arrivée de la prochaine trame I, soit pas moins de 29 images dans notre exemple. Une perte de paquets de 0,1 % peut entraîner la corruption de 66 % des images (0,1 x 23 x 29). Pour obtenir une lecture régulière et sans artefact des vidéos, il est important de réduire autant que possible la perte de paquets voire, dans l’idéal, de la supprimer complètement.

    jitter (gigue) indique la variation du délai de réception des paquets dans le flux, exprimée en fréquence d’horloge. Elle est mesurée en comparant l’intervalle entre l’envoi des paquets RTP et leur réception. Par exemple, si le paquet 1 et le paquet 2 partent avec 50 millisecondes d’écart et arrivent avec 60 millisecondes d’écart, la gigue est de 10 millisecondes. Plus la gigue est faible, mieux c’est. Des valeurs de gigue élevées indiquent que les paquets n’arrivent pas à intervalle régulier et qu’il faut augmenter la mise en cache pour obtenir une lecture fluide. La gigue pose souvent moins de problème que la perte de paquets dans la mesure où une augmentation de la mise en cache de l’ActiveSQX permet de la compenser.

    4.4 Problèmes de multidiffusion IGMP

    Si un flux IP multidiffusion se coupe après un certain intervalle de temps, qu’il s’agisse de quelques minutes, quelques heures ou mêmes quelques jours, cela peut être dû à un problème de configuration des commutateurs utilisés pour transmettre les paquets en multidiffusion. Dans ce cas, l’erreur « Connexion interrompue » apparaîtra dans la fenêtre. Pour vérifier que les paquets RTP ne sont plus reçus, activez la journalisation suivante :

    cmd183.exe setlog file –s 2 –g rtpsource:5 –n igmp

    Ouvrez le flux IP et laissez-le tourner jusqu’à ce que le flux s’interrompe, puis récupérez les journaux à l’aide de la commande getlogs. Dans sqx-client-child_xxx.log, cherchez les lignes « No frames transferred for more than 1 second » (« Aucun transfert d’image depuis plus d’1 seconde ») et « Treating end of stream as timeout » (« Traitement de la fin de flux comme expiré »). Le nombre de paquets RTP reçus est indiqué entre ces deux variables. Si ce nombre n’augmente pas entre la dernière image décodée et l’expiration, cela signifie qu’aucun nouveau paquet RTP n’a été reçu et peut indiquer qu’un commutateur filtre les paquets.

    En supposant que les paquets se sont arrêtés, nous pouvons examiner les paquets IGMP pour voir s’ils se comportent correctement. Ouvrez sqx-client_xxx.pcap avec Wireshark et cherchez les paquets « Requête d’adhésion, général » provenant du commutateur. Assurez-vous que chaque requête reçoit un « Rapport d’adhésion » dans le Temps de réponse max indiqué par le paquet de requête pour l’adresse multidiffusion concernée. Si un autre périphérique envoie un rapport avant l’ActiveSQX, l’ActiveSQX n’enverra pas de réponse (cela fait partir du protocole IGMP standard). Dans certains cas, l’ActiveSQX peut recevoir un rapport provenant d’un périphérique qui n’aurait pas dû répondre. Cela indique qu’il y a un problème de configuration du réseau.

    5 Annexes

    5.1 Types de journalisation

    Les fichiers journaux peuvent être stockés sur l’ActiveSQX ou envoyés en direct sur l’ordinateur hôte lors de leur génération et affichés en utilisant DebugView ou un débogueur du noyau. Le fait d’écrire les fichiers sur l’ActiveSQX est plus rapide et interfère moins avec le processus de décodage, mais l’ActiveSQX possède un espace de journalisation limité (environ 1,4 Go). À l’inverse, l’affichage des journaux dans DebugView n’est pas limité par l’espace disque, mais il peut nuire gravement à la performance en cas de journalisation très détaillée.

    Plusieurs types de journalisation peuvent être activés :

    • SQX : enregistrement des messages provenant du code propriétaire de Datapath.
    • GStreamer : enregistrement des messages provenant du code open source de GStreamer.
    • Pipeline GStreamer : représentation graphique du pipeline GStreamer.
    • Capture des paquets réseau : captures brutes des paquets réseau qui peuvent être visualisées dans Wireshark.

    En fonction de la nature du problème, vous pouvez activer simultanément une ou plusieurs de ces journalisations, dans la limite de l’espace disque et de l’impact sur la performance. Nous vous conseillons de commencer par un niveau de journalisation relativement léger et de chercher les erreurs et les avertissements contenus. Ensuite, lorsque la source du problème se précise, vous pouvez augmenter les niveaux de journalisation.

    5.1.1 Journalisation de SQX

    La journalisation de SQX comprend 4 niveaux allant de 0 à 3. 0 : aucune journalisation ; 1 : erreurs uniquement ; 2 : erreurs et avertissements : 3 : journalisation complète. La journalisation de niveau 2 est un bon point de départ, dans la mesure où elle ne devrait pas remplir le disque trop rapidement. Exemple : cmd183.exe setlog file –s 2

    5.1.2 Journalisation de GStreamer

    La journalisation de GStreamer est plus complexe. Elle comprend 10 niveaux allant de 0 à 9. Outre le niveau de journalisation, GStreamer propose différentes catégories de débogage pour les différents composants de l’architecture GStreamer. Il est par exemple possible d’activer le niveau de débogage 9 pour la catégorie rtpsource sans activer les autres catégories. Pour en savoir plus, consultez la section sur la variable GST_DEBUG dans http://gstreamer.freedesktop.org/data/doc/gstreamer/head/gstreamer/html/gst-running.html. Le niveau 4 pour toutes les catégories est généralement un bon point de départ dans la mesure où il permet d’obtenir suffisamment de données sans pour autant remplir l’espace disque trop rapidement. Exemple : cmd183.exe setlog file –g 4 or cmd183.exe setlog file –g rtpsource:5

    5.1.3 Journalisation de Pipeline

    GStreamer permet également de générer un fichier .dot qui, une fois traité par graphviz, fournit une représentation graphique du pipeline et donne un bon aperçu des formats de codage et des protocoles de transport utilisés par une source IP donnée. Exemple : cmd183.exe setlog file -p

    5.1.4 Journalisation des paquets

    Si les fichiers journaux ne suffisent pas à diagnostiquer le problème, vous devrez peut-être capturer les paquets réseau bruts et les analyser dans Wireshark. Cette solution permet également de reproduire les problèmes qui se produisent rarement, ce qui peut être pratique pour les problèmes intermittents. Il convient toutefois de noter que si tous les paquets sont capturés, cela peut remplir l’espace disque très rapidement. Afin de réduire au minimum ce problème et d’offrir une certaine confidentialité aux clients, il est possible de filtrer les paquets capturés selon des critères donnés. Tcpdump est utilisé pour la capture de paquets et la syntaxe du filtre est détaillée à l’adresse suivante : http://www.tcpdump.org/manpages/pcap-filter.7.html. Example: cmd183.exe setlog file –n “src 10.20.0.1” or cmd183.exe setlog file –n “ ” pour aucun filtrage.

    Le mode Proximité est désactivé afin d’éviter de capturer le trafic réseau général qui n’est pas destiné à l’ActiveSQX. Cependant, étant donné que la capture de paquets opère à un niveau bas, elle peut capturer des informations potentiellement sensibles en fonction des informations envoyées sur le réseau si celles-ci ne sont pas explicitement filtrées. Il est également possible de relancer la vidéo à partir des captures de paquets. Veillez à en informer les clients avant de leur demander d’envoyer les captures de paquets à Datapath. Pour ces raisons, la capture de paquets doit généralement être utilisée en dernier recours pour résoudre les problèmes de débogage.

  • Comment vérifier la configuration RAID

    Pour vérifier la configuration RAID sur votre contrôleur de mur, suivez ces instructions :

    1. Redémarrez le contrôleur de mur et appuyez sur le bouton Suppression du clavier lorsque l’écran d’accueil Démarrage s’affiche. Vous serez alors redirigé vers l’utilitaire de paramétrage du BIOS (Fig. 1)

    2. Utilisez les flèches du clavier pour naviguer dans l’onglet Advanced [Avancé]. L’écran suivant apparaît.

    Fig. 1
    Fig.1

    Confirmez que Configure SATA#1 [Configurer SATA#1] est réglé sur RAID.

    3. Appuyez sur F10 pour enregistrer et quitter l’utilitaire du BIOS.

    4. Lorsque le contrôleur de mur redémarre, appuyez sur CTRL+i dans l’écran de présentation du BIOS pour saisir l’utilitaire du BIOS du RAID (Fig. 2)

    Réseau RAID dégradé

    5. Si un réseau RAID est dégradé, cela ne veut pas nécessairement dire que le disque dur ou un autre matériel du système est défectueux. Cela signifie qu’il y a une incohérence des DONNÉES dans le réseau. Cela peut être provoqué par de nombreux facteurs différents, y compris un BSOD (écran bleu de la mort), une mise en attente du système, un conflit entre applications ou une coupure de tension.

    Comme indiqué ci-dessus, la dégradation d’un réseau RAID ne correspond pas nécessairement à un défaut du matériel, mais si le problème se reproduit de manière régulière, un diagnostic complémentaire doit être effectué. Comme pour tout système, il est recommandé d’effectuer des sauvegardes régulières pour sécuriser les informations.

    Fig. 2
    Fig.2

    6. Si un réseau RAID est dégradé, relevez le numéro du port physique et le numéro de série du disque dégradé, qui, dans la Fig. 2, est surligné avec une erreur en rouge. Le disque opérationnel apparaît en tant que Member Disk (o) [Disque membre (o)] et est surligné en vert.

    7. Utilisez les flèches du clavier et naviguez jusqu’à l’Option 3 dans le Menu Principal (Reset disks to Non-RAID [Réinitialiser les disques à non-RAID]), puis appuyez sur Entrée.

    8. Utilisez les flèches du clavier pour sélectionner le disque dégradé (surligné en rouge) et appuyez sur le clavier pour le passer en réinitialisation.

    AVERTISSEMENT ! Assurez-vous d’avoir sélectionné le bon disque avant de continuer.

    9. Lorsqu’un disque a été réinitialisé, l’utilitaire du BIOS du RAID le détecte en tant que nouveau disque et une invite apparaît pour vous demander si vous souhaitez utiliser le disque sélectionné pour réparer le RAID. Acceptez puis continuez.

    10. Les deux disques doivent alors apparaître en tant que Member Disk (x) [Disque membre (x)] avec leur état surligné en jaune signifiant Rétabli (Fig. 2)

    11. Quittez l’utilitaire en appuyant sur Échap, le RAID commencera alors le processus de reconstruction après chargement du système d’exploitation.

  • Comment utiliser l’outil de diagnostic Datapath

    Il est possible que le personnel d’assistance vous demande d’utiliser l’outil de diagnostic Datapath afin de résoudre un problème rencontré lors de l’utilisation de nos produits.

    L’outil de diagnostic de Datapath est un programme de diagnostic pour Windows® qui récolte des informations sur la configuration des composants du systèmes. Les informations sont triées, recueillies et compressées dans un fichier zip pour transmission ultérieure à l’équipe d’assistance de Datapath.

    Pour utiliser l’outil de diagnostic de Datapath, vous devez le télécharger sur le site Internet. Cliquez ici pour télécharger le fichier diagtool.zip.

    Après avoir téléchargé le fichier zip, décompressez-le dans un dossier puis faites un double clic sur le fichier DIAGTOOL.exe. Cela lance l’assistant de l’outil de diagnostic. La boîte de dialogue suivante s’affiche :

    Datapath Diagnostic Tool

    Cliquez sur Suivant> pour continuer. La boîte de dialogue suivante s’affiche :

    Datapath - Licence Agreement

    Accord de licence

    Pour autoriser l’exécution de l’outil de diagnostic, veuillez accepter l’Accord de licence en cochant la case, comme indiqué ci-dessus. Veuillez lire attentivement les conditions de l’Accord de licence. Lorsque vous avez lu et accepté les conditions, cliquez sur Suivant>. La boîte de dialogue suivante s’affiche : La mémoire partielle ne doit être vérifiée que sur la demande expresse de l’équipe d’assistance.

    Datapath Diagnostic Tool - Components

    Components

    Cette boîte de dialogue permet de choisir individuellement les différents composants du diagnostic qui seront collectés. Sauf demande d’un membre de l’équipe d’assistance, veuillez utiliser les sélections par défaut comme montré ci-dessus. Cliquez sur Suivant> pour afficher la boîte de dialogue Récapitulatif :

    Datapath Diagnostic Tool - Summary

    Récapitulatif

    Cette boîte de dialogue affiche un récapitulatif des options que vous avez sélectionnées dans la boîte de dialogue Composants précédente. Pour modifier les options Composants, cliquez sur le bouton Retour.

    Si la boîte de dialogue affiche les options que vous souhaitez, cliquez sur Suivant>. Une boîte de dialogue de progression apparaît pendant que l’outil de diagnostic collecte les informations requises.

    Lorsque toutes les données ont été récoltées et écrites dans un fichier, la boîte de dialogue suivante s’affiche :

    Datapath Diagnostic Tool - Finished

    Terminé

    La boîte de dialogue Terminé confirme que l’outil de diagnostic a réuni toutes les informations nécessaires et les a écrites dans un fichier zip. L’emplacement du fichier zip est également indiqué. Localisez le fichier zip et transférez-le à l’équipe d’assistance de Datapath en tant que pièce jointe à un e-mail.

  • Comment appliquer la procédure Firmware Golden Image

    Il se peut qu’un membre de notre équipe d’assistance vous demande d’appliquer la procédure Firmware Golden Image. Pour cela, suivez les étapes suivantes :

    "LINK" = LK1 VisionRGB-E2, VisionRGB-X2, VisionSD4+1, VisionSDI2, VisionDVI-DL et VisionHD4

    "LINK" = LK4 pour VisionRGB-E1 et VisionSD8

    "LINK" = J8 pour VisionAV-HD et VisionAV-SDI

    "LINK" = J11 pour VisionAV

    "LINK" = J1 pour VisionHD4

    • Arrêtez votre ordinateur et le châssis d’extension
    • Supprimez le lien « LINK » figurant sur la carte de circuits imprimés de la carte de capture Vision
    • Démarrez l’ordinateur et le bureau Windows
    • Remettez « LINK » sur la carte de capture Vision
    • Exécutez le programme d’installation Vision/Driver requis
    • Confirmer que Flash133 s’exécute correctement
    • Arrêtez votre ordinateur et le châssis d’extension
    • Démarrez l’ordinateur et le bureau Windows
    • Confirmez que votre application / carte de capture Vision fonctionne
  • Comment connecter GraphEdit à votre application

    Ouvrez GraphEdit et sélectionnez « Connect to a remote graph » [Connecter à un graphique distant] dans le menu Fichier.

    Si GraphEdit n’est pas installé sur votre ordinateur, vous pouvez télécharger le fichier depuis nos pages de support pour les pilotes d’utilitaire multi-écran.

    La boîte de dialogue « Select a remote filter graph to view » [Sélectionner un graphique de filtre distant] s’affiche :

    Select a remote filter graph to view

    Si la boîte de dialogue comporte une entrée, sélectionnez cette entrée puis cliquez sur OK.

  • Comment exporter un graphique de filtre et les informations de rendu vidéo avec GraphEdit

    Il se peut qu’un membre de notre équipe d’assistance vous demande de lui transférer un graphique de filtre. Pour cela, suivez les étapes suivantes :

    1. Ouvrez l’application GraphEdit et sélectionnez Graph/ Insert Filters.

    Si GraphEdit n’est pas installé sur votre ordinateur, vous pouvez télécharger le fichier depuis nos pages de support pour les pilotes d’utilitaire multi-écran.

    Open the GraphEdit application

    2. La boîte de dialogue suivante apparaît.

    Which filters do you want to insert

    3. Développez les périphériques de capture de flux WDM et sélectionnez le périphérique de capture. Le filtre source s’affiche dans la fenêtre d’application GraphEdit.

    Expand the WDM streaming capture devices

    4. Faites un clic droit sur la première broche de capture du filtre source et sélectionnez « Pin Properties » [Propriétés de la broche]. La boîte de dialogue Pin Properties s’affiche.

    5. Sélectionnez l’espace de couleurs. Ne modifiez pas la taille de la mémoire tampon ni le taux de capture. Fermez la boîte de dialogue Pin Properties. Faites un nouveau clic droit sur la première broche de capture du filtre source et sélectionnez « Render Pin » [Broche de rendu].

    6. L’application GraphEdit affiche désormais le graphique de filtre système pour l’espace de couleurs utilisé.